Certaines périodes de l’année apparaissent plus propices à la sécheresse de la peau. En hiver, l’épiderme est par exemple plus sujet aux variations de température et aux agressions extérieures. Son équilibre hydrolipidique est mis à mal.
Context
Selon une étude clinique menée durant une année, il existe un lien entre le niveau de sécheresse physique de la peau et l’évolution des températures au fil des saisons.
Ainsi, les mesures biophysiques permettent de prouver que le taux d’hydratation de l’épiderme est au plus bas durant hiver. Elles montrent également que le nombre de cellules desquamées à la surface de la peau reste au plus haut pendant la saison froide.
Des conséquences immédiates
Durant l’hiver, la peau est en effet agressée par des conditions climatiques parfois sévères (froid, vent…).
Progressivement, la peau présente ainsi les signes cliniques de la sècheresse cutanée :
- des tiraillements : elle devient inconfortable.
- une fragilité : elle réagit excessivement aux facteurs extérieurs
- une certaine rigidité : les tissus sont desséchés par les pertes d’eau.
- une sensation de rugosité : squames, dartres et irrégularités de surface apparaissent